Quelle sont les dimensions d’une tombe ?

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Choisir un monument funéraire, c’est choisir une forme, un ou plusieurs matériaux, des inscriptions, en tenant compte des contraintes du cimetière, des fondations, du budget, de la date limite.

Qu’est-ce qu’un monument funéraire ?

  • c’est la partie visible d’une sépulture : elle peut être limitée à une simple pierre ou faire l’objet d’une composition plus élaborée.
  • c’est une protection de la tombe : contre les intempéries, contre les violations, contre l’oubli…
  • c’est un point de repère dans le paysage du cimetière.
  • c’est l’expression de la personnalité d’un individu, d’une famille.
  • c’est un lien entre le monde des vivants et celui des morts.
  • il s’agit d’un support de méditation sur un lieu de mémoire.
  • c’est un tremplin pour atteindre l’être cher par la pensée.
  • c’est un signe de respect pour ceux que nous avons aimés.
  • c’est un livre ou une œuvre d’art.
  • c’est un témoignage de notre époque pour les siècles à venir.
  • c’est une trace indélébile de l’existence d’une personne, d’une famille.

Les fondations du monument funéraire

Chambre forte ou terrain dégagé

Le monument funéraire est la partie visible depuis une sépulture. Le terrain accordé par la municipalité à un ou plusieurs concessionnaires (couple, famille) pour créer une sépulture doit être arrangé pour accueillir les cercueils du défunt. Ce développement se fait parfois en surface (on parle d’incendie), notamment dans le sud de la France, mais le plus souvent sous terre.

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Il existe 2 possibilités pour aménager le sous-sol d’un enterrement :

  • la « chambre forte » ;
  • la « fosse dans le sol ».

Cette disposition est importante pour le choix du monument à venir.

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La chambre forte

La « voûte » est une construction en maçonnerie, de taille variable, conçue pour accueillir un ou plusieurs cercueils. La voûte a également une fonction de fondation : elle sert de fondation au monument.

Fosse en pleine terre

Dans une « fosse dans le sol », les cercueils reposent sur le sol. La fosse est creusée au moment de l’enterrement, puis remplie juste après l’enterrement. Il peut accueillir 1 ou 2 cercueils.

Lorsque le monument doit être placé sur une sépulture dans le sol, il est recommandé de prévoir une fondation (appelée « false box ») afin d’assurer sa stabilité dans le temps. La « fausse boîte » n’est pas indispensable si le monument est léger (bois par exemple), et si plusieurs mois se sont écoulés depuis la dernière sépulture (la terre a eu le temps de s’installer).

À Lyon, il n’y a pas de semelle. Les monuments sont très proches les uns des autres et se consolident ainsi. Chaque monument est posé sur un cadre en béton, qui repose lui-même sur 4 pieux de châtaigniers.

Fondation d’un monument funéraire

Découpe d’un coffre simple, 2 boîtes

La forme du monument funéraire

La forme courante du monument funéraire répond à un certain nombre d’exigences fonctionnelles.

  • le tombeau est la dalle qui ferme la tombe. C’est cette partie qui se déplace lors des inhumations, dégageant une ouverture suffisante pour le passage d’un cercueil.
  • la stèle est la partie verticale en tête du monument où les noms des défunts sont visiblement inscrits.
  • la base met en valeur le tombeau et la stèle, donnant du volume au monument.
  • le jardinier ou le prie-dieu est l’endroit où se trouvent des fleurs ou des plantations.

L’équilibre d’un monument « classique » réside en grande partie dans l’harmonie des proportions et des formes de chacune de ses parties.

C’est pourquoi nous pensons qu’il est important de vous accompagner au cimetière pour examiner ensemble d’autres exemples de monuments funéraires et apprécier leurs proportions afin de déterminer ceux qui conviendront le mieux au vôtre dans son emplacement particulier.

Le monument funéraire est parfois limité au tombeau, à une stèle ou à un périmètre formant jardin.

Dans ce dernier cas, un petit jardin est aménagé avec des plantations qui peuvent être en contact direct avec le terrain où repose le défunt s’ils ont été enterrés en pleine terre. Afin de faciliter l’entretien de ce type de monument , nous proposer des contrats d’entretien annuels avec arrosage et renouvellement des plantes.

Le monument peut prendre toutes les formes que l’imagination est capable d’inventer.

Le cimetière du Père-Lachaise est considéré comme l’un des principaux musées de sculpture du 19e siècle, car tous les grands sculpteurs s’y sont exprimés, laissant libre cours aux créations les plus inspirées.

Le cimetière de Montparnasse abrite également de nombreuses créations artistiques , souvent récentes. Tous les cimetières sont ouverts à des créations spéciales, car elles contribuent à donner une image différente du lieu.

Nous travaillons avec différents artistes et sommes heureux de collaborer avec un créateur qui nous a été présenté par la famille pour développer un monument. Nous créons également avec vous une création basée sur des idées qui vous sont spécifiques.

Matériaux pour monuments funéraires

Les matériaux généralement utilisés pour les monuments funéraires sont des matériaux qui offrent la meilleure résistance au temps.

La pierre

calcaire Le a été, du XVIIIe siècle au milieu du XXe siècle, l’un des principaux matériaux funéraires. Au fil du temps, la pierre se patine. L’apparition de mousses au cours de la première année fait partie du processus normal de vieillissement de la pierre. Il peut retrouver sa teinte claire en le nettoyant à l’eau sous pression ou au jet de sable. Il existe une grande variété de pierres de différentes densités, toutes dans une gamme de tons clairs allant du blanc au beige plus ou moins profond : Lens, Comblanchien, Saint-Maximin, Euville.

La pierre est particulièrement adaptée aux monuments de style ancien ou se déroulant dans un environnement de monuments anciens, en pierre ou en marbre.

Le marbre

Contrairement à la croyance populaire, le marbre est rarement travaillé par les marbriers. Le marbre a été largement utilisé pour les sculptures funéraires au 19e siècle . Nous recherchons sa blancheur et son vernis. Mais comme la pierre, le marbre est calcaire et se patine lorsqu’il est utilisé à l’extérieur. Contrairement au granit, il ne conserve pas son poli longtemps lorsqu’il est exposé à la pluie.

granit

Le granit est incontestablement le matériau le plus utilisé dans l’architecture funéraire depuis le milieu du XXe siècle. Il offre une grande variété d’aspects (uni, veiné ou moucheté), de couleurs (noir, gris, marron, vert, rouge, bleu, rose), de finitions (poli, poli, bouchardé, flammé), avec une résistance exceptionnelle dans le temps.

Le granit est le plus souvent poli , ce qui lui confère un aspect vitrifié lui permettant d’exprimer pleinement sa couleur tout en le garantissant au mieux contre les intempéries. Ensuite, facile à entretenir, il ne nécessite qu’un nettoyage à l’eau propre et parfois un nettoyage plus approfondi dans le Kärcher avec un huilage fin.

Autres matériaux

métal, la céramique, le verre, le bois… sont autant de matériaux alternatifs qui peuvent être travaillés pour le réalisation d’un monument funéraire particulier Le .

Si certains monuments Dans les matériaux composites ont mal vieilli au fil du temps (les monuments en « granito », sorte de béton armé moulé, largement utilisé dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, ont tendance à se désagréger sous l’effet de la rouille), les nouveaux matériaux composites offrent des propriétés uniques pour repenser la monument funéraire : plasticité, couleurs, textures et bien sûr résistance au temps.

À L’Autre Rive, nous cherchons sans préjugé le matériau qui correspond le mieux à vos souhaits.

L’ornementation d’un monument funéraire

En plus de sa forme et de ses matériaux, le monument peut être décoré . Des gravures ou des éléments ajoutés personnalisent un peu plus la tombe.

Techniques de gravure

2 techniques de gravure sur un monument funéraireGravure à la main/gravure à la machine  :

  • Gravure à la main  : cette taille Traditional est exécuté par un graveur au moyen d’un ciseau et d’un marteau. Il s’agit d’une coupe en V assez profonde qui capte bien la lumière et qui est le plus fréquemment utilisée dans les cimetières d’Île de France. Le graveur peut parfois utiliser des découpoirs pour graver des compositions ou des portraits.
  • Gravure au jet de sable mécanique  : elle est réalisée en atelier par la projection puissante d’une poudre abrasive à travers un système de pochoirs. Cette poudre permet de graver des inscriptions ou des motifs en creusant. L’application de la feuille ou de la couleur d’or se fait ensuite manuellement.

Les inscriptions sont réalisées sur des surfaces horizontales ou verticales, par enlèvement de matière. Il est important de savoir que l’or ou la couleur des inscriptions faites sur une surface horizontale changera plus rapidement que dans le cas d’une inscription sur une surface verticale. Un revêtement est toujours possible pour restaurer la couleur ou restaurer la couleur.

Le nom

Les monuments sont tout d’abord gravés. avec le prénom, le nom de famille et les années de naissance et de décès du défunt. En fonction du nombre de places disponibles dans l’enterrement, il est nécessaire de prévoir où aura lieu la gravure des noms du futur défunt.

Mais la gravure ne se limite pas nécessairement à ces seules informations : une épitaphe, un portrait, la reproduction d’un dessin d’enfant, une signature, un emblème, un blason, une décoration… sont autant de gravures possibles.

Les épitaphes

Les épitaphes qui font le charme des tombes anciennes sont aujourd’hui assez rares. La famille peut choisir une citation religieuse ou une citation d’auteur, une phrase écrite par le défunt ou par un être cher, un message d’espoir ou d’amour, quelques mots sur le défunt, ce qu’il a fait, ce qu’il représente.

L’humour est également cité dans les épitaphes. En raison de son caractère très personnel, il se trouve plus généralement sur l’enterrement d’une personne seule que sur un caveau familial.

Ex : « Ceux qui sont passés à ceux qui passent » ; « Ici sont allés sans retour », épitaphe d’Alphonse Allais.

En guise d’épitaphe, un enterrement peut être recouvert de mots personnels manuscrits (et de dessins) qui seront d’abord réalisés au crayon gras par la famille et les amis (à l’occasion d’un anniversaire de décès par exemple), puis gravés, dorés ou colorés sur place par le graveur.

Les éléments fixés sur le monument

La liste des éléments pouvant orner un monument funéraire n’est pas exhaustive. Il peut s’agir d’un emblème religieux, d’une photo imprimée sur de la porcelaine, d’une plaque, d’une mosaïque, d’un vase, d’une urne funéraire, d’une sculpture, d’un objet personnel…

La mise en œuvre de la réalisation du monument funéraire de L’Autre Rive

  • nous vous conseillons et développons un projet qui répond à vos attentes : monument classique, monument personnalisé ou création artistique.
  • nous en dressons un ou plusieurs des devis détaillés gratuits et sans engagement de votre part.
  • nous vous garantissons le meilleur rapport qualité/prix du marché.
  • nous avons des monuments réalisés directement sur les meilleurs sites de fabrication, à proximité de sites d’extraction de granit en France (Tarn, Bretagne) ou à l’étranger (Inde, Chine).
  • nous installons le monument dans tous les cimetières de France.

Qu’est-ce qui est autorisé et qu’est-ce qui ne l’est pas ?

Chaque commune, et parfois chaque cimetière, impose ses propres contraintes, qui sont spécifiées dans le règlement intérieur du cimetière.

Ces contraintes sont généralement limitées aux dimensions du monument. Dans les cimetières parisiens et dans la plupart des cimetières d’Île-de-France, les monuments funéraires mesurent 1 x 2 mètres et ne doivent pas dépasser 2 mètres de haut.

À l’exception de certains cimetières classés qui exigent que le projet du monument soit soumis à l’architecte des bâtiments de France, aucune contrainte matérielle ou esthétique ne peut être imposée aux familles qui souhaitent faire placer un monument sur la tombe d’un parent ou d’un ami.

Le maire a toutefois le pouvoir de refuser un monument ou une inscription qui mettrait en péril la décence ou la sécurité dans le cimetière de sa commune.

Les délais pour la création de l’installation du monument funéraire

Le processus météorologique de fabrication et d’installation d’un monument funéraire varie entre deux semaines et six mois , selon qu’il s’agit d’un monument standard ou d’une création originale.

À L’Autre Rive, nous offrons une gamme d’une dizaine de monuments dans différents granits qui peuvent être posés en douze jours. Cependant, le temps moyen de production et d’installation d’un monument sur mesure est de trois mois.

La fermeture de la plupart des sites de fabrication en août et la surcharge de travail au cours du mois précédant la Toussaint nous incitent à commander dès le début de l’été. les monuments qui doivent impérativement être posés avant la Toussaint.

Les coûts et les prix d’un monument funéraire

Le prix d’un monument funéraire livré et installé peut varier entre 2 000 et 50 000€ ; mais en moyenne, il se situe plutôt entre 3 000 et 6 000€ .

Le coût d’un même monument peut varier de 1 à 3 selon le matériau choisi.

D’autres questions concernant les monuments funéraires ?